ZAP Montérégie
Fournisseur d’accès Wi-Fi gratuit-
Montérégie Sans Fil aux 3 Brasseurs
Posté le 6 août 2009 Pas de commentairesLes 3 Brasseurs offrent maintenant nos services Wi-Fi.
Amateur de bière fait maison et de bon repas? Propriétaire d’une carte Wi-Fi? Si oui, alors Les 3 Brasseurs est le restaurant fait pour vous, puisque ce restaurant offre à sa clientèle depuis quelques temps le service sans fil propre à Montérégie Sans Fil. Nous avons enfin mis les pieds au Dix30, où nous espérons pouvoir faire une percer. Ceci est une autre avancée pour Montérégie Sans Fil, et cela ne sera pas la dernière.
Si, cependant, vous êtes intéresser à savoir l’emplacement de nos autres bornes sans fil, consultez notre carte des points d’accès.
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Le Web sur l’herbe des Plaines
Posté le 31 juillet 2009 Pas de commentairesQUÉBEC – Dès demain, Internet sans fil sera accessible sur les plaines d’Abraham. Quatre bornes du réseau ZAP Québec y ont été installées aux endroits stratégiques : au Pavillon des services, au kiosque Edwin-Bélanger, au jardin Jeanne-d’Arc et au Site des grands événements.
C’est un vote populaire, dans le site MoijeZAP.com, qui a élu les plaines d’Abraham comme l’endroit privilégié à brancher à Québec. Après le Palais Montcalm, L’ENAP, l’Université Laval, des dizaines de cafés et de commerces et, plus récemment, les terrasses de Grande Allée, le réseau gratuit ZAP Québec cible maintenant les vallons paisibles et les points de service du grand parc urbain.
C’est une heureuse nouvelle pour les promeneurs, les touristes et les employés des édifices des environs, qui pourront naviguer sur le Web en plein air ou bien à l’abri dans les points de service de la Commission des champs de bataille nationaux. Pour nos collègues journalistes, la couverture des concerts, spectacles et autres événements tenus sur les Plaines sera grandement facilitée!
Le fonctionnement est simple : muni d’un appareil mobile, les usagers peuvent se connecter au réseau, s’inscrire et suivre le lien qui leur sera envoyé par courriel pour confirmer leur inscription. On dispose de 30 minutes d’accès pour compléter ses opérations, après quoi il faut se connecter avec son nom d’usager et son mot de passe.
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L’Antidote s’est débranché!
Posté le 27 juillet 2009 Pas de commentairesDELSON – La maison des jeunes de Candiac a tiré sur la plug. Elle peut désormais compter sur un accès Internet sans fil gratuit plutôt que par câble régulier grâce à l’OSBL Montérégie Sans Fil. Tout un privilège lorsqu’on sait que peu d’espaces publics profitent d’une tel service dans le Roussillon.
S’il existe environ 180 endroits à Sherbrooke où il est possible de se connecter par ondes et sans frais, 175 à Montréal et tout autant à Québec, les chiffres en Montérégie laissent pantois : 27 seulement.
Le fondateur de Montérégie Sans Fil (MSF), Raymond Quintal, est catégorique.
« Les régions ont besoin de rattrapage, débute-t-il. Aussitôt qu’on sort des grands centres, ce n’est pas facile. Il faut aller à la bibliothèque la plupart du temps. Faudrait que ça change. On veut renverser la vapeur et démocratiser l’accès à Internet. »
Gratuit, vraiment? Presque. L’organisme sans but lucratif qu’il coordonne a demandé 100 $ en frais d’équipement à la maison des jeunes, soit moins que le coût d’achat du matériel, et se contente pour un paiement de service annuel de 50 $. Une somme symbolique lorsqu’on considère que les techniciens sont tous bénévoles et se déplacent parfois à leurs frais. Présentement, l’aide du gouvernement est indispensable à la distribution du Web par ondes.
La toile pour tous
L’Antidote est la seule maison des jeunes à offrir Internet sans connexion câblée. Ceci n’a pas sa raison d’être pour le fondateur de l’OSBL.
« Les services gouvernementaux au complet sont en ligne : chômage, pension de vieillesse, etc. Même les travaux scolaires du primaire nécessitent une connexion à Internet », poursuit le fondateur.
Pour lui, les forfaits oscillant entre 40 et 60 $ par mois ne peuvent trouver preneurs chez les plus pauvres. Raison pour laquelle la société a l’obligation de pallier cette situation.
Le Reflet – 24 juillet 2009